Prévisions de recrutement en baisse pour les entreprises d’ici 2024

Les entreprises envisagent de réduire leurs recrutements dans les prochaines années, selon une étude récente. En effet, les perspectives d’embauche pour l’année 2024 sont moins optimistes que prévu, avec une diminution significative du nombre de postes à pourvoir.

Cette tendance s’explique en partie par un contexte économique incertain, marqué par une croissance ralentie et des incertitudes liées à la situation géopolitique mondiale. De plus, les entreprises font face à des défis de recrutement, notamment en raison de la pénurie de compétences sur le marché du travail.

Ainsi, de nombreuses entreprises prévoient de revoir leurs stratégies de recrutement et de miser davantage sur la formation en interne, afin de répondre à leurs besoins en compétences. Cette approche vise à favoriser la mobilité interne des salariés et à développer les talents en interne, plutôt que de recruter de nouveaux profils.

Par ailleurs, les entreprises cherchent également à diversifier leurs sources de recrutement, en s’ouvrant davantage à des profils atypiques ou provenant de secteurs différents. Cette démarche vise à enrichir les équipes en apportant de nouvelles perspectives et compétences, tout en favorisant la mixité et la diversité au sein des entreprises.

En définitive, les entreprises font face à un contexte complexe en matière de recrutement, les incitant à repenser leurs pratiques et à s’adapter aux évolutions du marché du travail. Il est donc essentiel pour les entreprises de rester flexibles et innovantes dans leur approche du recrutement, afin de relever les défis actuels et futurs en matière de gestion des talents.

Prévisions de recrutement en baisse pour les entreprises d’ici 2024

Les entreprises envisagent de réduire leurs recrutements dans les prochaines années, selon une étude récente. En effet, les perspectives d’embauche pour l’année 2024 sont moins optimistes que prévu, avec une diminution significative du nombre de postes à pourvoir.

Cette tendance s’explique en partie par un contexte économique incertain, marqué par une croissance ralentie et des incertitudes liées à la situation géopolitique mondiale. De plus, les entreprises font face à des défis de recrutement, notamment en raison de la pénurie de compétences sur le marché du travail.

Ainsi, de nombreuses entreprises prévoient de revoir leurs stratégies de recrutement et de miser davantage sur la formation en interne, afin de répondre à leurs besoins en compétences. Cette approche vise à favoriser la mobilité interne des salariés et à développer les talents en interne, plutôt que de recruter de nouveaux profils.

Par ailleurs, les entreprises cherchent également à diversifier leurs sources de recrutement, en s’ouvrant davantage à des profils atypiques ou provenant de secteurs différents. Cette démarche vise à enrichir les équipes en apportant de nouvelles perspectives et compétences, tout en favorisant la mixité et la diversité au sein des entreprises.

En définitive, les entreprises font face à un contexte complexe en matière de recrutement, les incitant à repenser leurs pratiques et à s’adapter aux évolutions du marché du travail. Il est donc essentiel pour les entreprises de rester flexibles et innovantes dans leur approche du recrutement, afin de relever les défis actuels et futurs en matière de gestion des talents.

mai 6, 2024 0 Par BlanChapeau

Le dernier rapport de France Travail révèle une baisse significative des besoins en main d’œuvre pour l’année 2024 dans le secteur privé, avec une diminution de 11%. Si l’on inclut également le secteur public, on constate que seulement 37 900 embauches sont prévues, ce qui représente une baisse de 2 500 par rapport à l’année précédente. Cette tendance à la baisse peut s’expliquer par différents facteurs économiques et sociaux qui influent sur le marché de l’emploi en France.

Le marché de l’emploi à La Réunion en 2024

Une annonce préoccupante dans le domaine de l’emploi à La Réunion. Alors que le taux de chômage a légèrement baissé au premier trimestre, des signes inquiétants se profilent. France Travail a divulgué les résultats de son enquête sur les besoins en main-d’œuvre pour l’année 2024. Le constat est sans appel : les intentions d’embauche dans le secteur privé diminuent de 11%, soit 21 800 postes en moins par rapport à l’année précédente. Si l’on inclut les établissements publics et les associations, la baisse est moins marquée, atteignant 6% et représentant tout de même 2 500 emplois en moins par rapport à 2023.

Cette régression dans le secteur privé s’explique en partie par la diminution du nombre d’établissements envisageant des recrutements, passant de 33% à 29%. Les projets de recrutement diminuent dans tous les domaines, en particulier dans la construction (-22%, soit 1 050 postes en moins). Viennent ensuite les services aux particuliers (-10%, soit -700 postes, dont -450 dans la santé et l’action sociale, et -150 dans l’hébergement-restauration), les services aux entreprises (-6%, soit -350 postes, dont -250 dans la communication, les activités financières, d’assurance et immobilières), ainsi que l’agriculture (-18%, soit -200 postes). Une autre donnée importante de cette étude concerne les difficultés de recrutement anticipées par les employeurs du privé, qui diminuent légèrement entre 2023 et 2024 mais restent à un niveau élevé, avec 54% des projets d’embauche concernés. « Elles sont particulièrement présentes dans les structures de moins de 10 salariés, ainsi que dans les secteurs de l’hébergement-restauration, la construction, et la santé et l’action sociale », explique France Travail.

Sur les 21 800 projets de recrutement envisagés en 2024 par les établissements privés, 7 sur 10 se concentrent dans les services et le commerce : 5 900 sont prévus dans les services aux particuliers, dont 2 150 dans l’hébergement-restauration et 1 950 dans la santé et l’action sociale ; 5 100 sont prévus dans les services aux entreprises, dont 6 sur 10 dans le transport et entreposage, nettoyage, sécurité, activités de conseil et comptables, et services d’aménagement paysager ; 4 000 sont prévus dans le commerce.

À noter que le secteur privé recherche principalement des profils dans les métiers de la construction, du commerce, des services et de l’hôtellerie-restauration (55% de ses besoins).

Cependant, ce n’est pas uniquement le secteur privé qui est concerné. Le secteur public et les associations ont également exprimé des besoins pour l’année 2024. En détail, 8 300 embauches sont prévues dans les associations, soit 600 de plus qu’en 2023 (+8%). Elles recherchent principalement des jardiniers, des professionnels de l’animation socioculturelle et des formateurs. Dans les établissements publics, 7 800 intentions ont été recensées (500 de moins qu’en 2023). Les métiers les plus recherchés sont les agents d’entretien de locaux (y compris les agents des écoles), les professionnels de l’animation socioculturelle et les jardiniers.

Face aux défis du recrutement, France Travail affirme son engagement aux côtés des entreprises pour les accompagner dans leurs projets de recrutement. Au total, 140 conseillers entreprises de France Travail se consacrent à cette mission. « Le taux de satisfaction des entreprises concernant les services de France Travail atteint 90% en 2023 et le délai moyen de satisfaction des offres d’emploi (23 jours) a été réduit d’1 jour par rapport à 2022 », précise France Travail.

source informationnelle : clicanoo.re
rédaction : intelligence artificielle