Dynamique de groupe à Tan-Tsoroka
Un hommage rendu au Révérend Père Corneille
La date du 28 février 2019 marque le début de cette chronique, actualisée récemment suite à l’accueil chaleureux réservé à « Côcô » par les anciens élèves de Saint-Michel entre 1974 et les années 2000. Cinquante ans se sont écoulés depuis que le Révérend Père Razafindrabe Hanta Corneille, surnommé « Côcô », a partagé ses réflexions profondes mêlées à des citations énigmatiques. Son influence perdure encore aujourd’hui, nous rappelant l’importance de son enseignement. En tant que préfet de Vohitraivo en 1986, il a marqué de nombreux esprits par sa sagesse et sa rigueur.
Un éducateur exceptionnel
Dès son arrivée au Collège Saint-Michel en 1969, le Père Corneille a su se démarquer par son dévouement et sa capacité à transmettre des valeurs profondes. Son rôle en tant que préfet de cycle a été crucial pour de nombreuses générations d’élèves, qui se souviennent encore des séances hebdomadaires de « Tan-Tsoroka » organisées avant les études du soir. Ce terme, qui semblait anodin à l’époque, prend tout son sens aujourd’hui, symbolisant l’héritage laissé par le Père Corneille.
Un héritage éducatif durable
Au fil des années, le Père Corneille a su marquer les esprits et influencer de nombreux jeunes adultes à travers ses enseignements et ses valeurs. Son engagement au Collège Saint-Michel de 1980 à 2005 en tant que préfet de Vohitraivo a laissé une empreinte indélébile dans la communauté des anciens élèves. Aujourd’hui encore, de nombreux anciens se reconnaissent dans les enseignements du Père Corneille, témoignant de l’impact durable de son travail éducatif.
En conclusion, l’hommage rendu au Révérend Père Corneille souligne l’importance de son héritage éducatif et spirituel, qui continue d’inspirer et de guider de nombreuses personnes, bien des années après son passage au Collège Saint-Michel.